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Je tiens à vous remercier d’avoir pris le temps de discuter pendant une heure du retour au travail et de la WSIB, ainsi que de la manière dont nous pouvons vous aider. Cela témoigne d’un engagement en faveur de votre santé et de votre sécurité. Et nous sommes heureux que ces séances collaboratives aient lieu maintenant. Jennifer animera la séance. Jennifer surveillera le clavardage. Si vous avez des questions, vous pouvez les poser dans la boîte de questions-réponses qui se trouve au bas de l’écran. Nous allons commencer par une présentation rapide pour vous donner une idée des grandes lignes, de ce que nous faisons, et nous pourrons ensuite passer à la séance de questions-réponses. Je m’appelle Dana Donofrio. Je suis gestionnaire au sein de la Gestion des cas de la WSIB. Je suis ici depuis environ dix ans et j’ai travaillé... J’ai toujours été dans la gestion des cas, donc Admissibilité, Courte durée, Long terme, et ensuite j’ai fait de la gestion pour tout cela aussi. Je travaille actuellement en gestion des dossiers à long terme. Kelly Harris est avec nous aujourd’hui. Kelly est gestionnaire au sein du Retour au travail et est un élément essentiel du groupe de retour au travail. Kelly, voulez-vous nous parler un peu de vous? | Une présentation PowerPoint intitulée « Return to work 101 » (retour au travail 101) apparaît à l’écran. Dana Donofrio apparaît dans le coin supérieur droit de l’écran et commence à parler. |
Oui. Oui. Je m’appelle Kelly Harris. Je travaille à la WSIB depuis environ 32 ans, et nous avons donc passé beaucoup de temps dans les domaines de l’ergonomie et du retour au travail, puis de la gestion du retour au travail au cours des 12 ou 14 dernières années. Donc, oui. J’ai passé la plupart de mon temps au Service de retour au travail, mais j’ai travaillé en étroite collaboration avec mes partenaires en Gestion des cas et je pense que c’est l’une des clés de la collaboration. Même si nous sommes un programme de retour au travail, les partenaires en Gestion des cas sont également très impliqués dans le processus de retour au travail. | Une présentation PowerPoint intitulée « Return to work 101 » (retour au travail 101) est affichée à l’écran. Kelly Harris apparaît dans le coin supérieur droit de l’écran et commence à parler. |
Merci, Kelly. Et Jen, voulez-vous nous parler un peu de vous? | Une présentation PowerPoint intitulée « Return to work 101 » (retour au travail 101) est affichée à l’écran. Dana Donofrio réapparaît dans le coin supérieur droit de l’écran et commence à parler. |
Bien sûr. Bonjour tout le monde. Je m’appelle Jennifer Singleton. Je suis gestionnaire des relations avec les parties prenantes à la WSIB. Je suis ici depuis environ 13 ans et je travaille à la gestion des cas aux côtés de Dana. | Une présentation PowerPoint intitulée « Return to work 101 » (retour au travail 101) est affichée à l’écran. Jennifer Singleton apparaît dans le coin supérieur droit de l’écran et commence à parler. |
Génial. Merci, Jen. Vous pouvez passer à la diapositive suivante. Nous pouvons commencer la présentation. | Une présentation PowerPoint intitulée « Return to work 101 » (retour au travail 101) est affichée à l’écran. Dana Donofrio réapparaît dans le coin supérieur droit de l’écran et commence à parler. |
Le cycle de vie d’une demande de prestations. C’est en quelque sorte la façon dont nous résumons le déroulement d’une demande de prestations à partir du moment où, en tant qu’employeur, vous soumettez votre premier formulaire 7. Votre avis ou rapport sera transmis à notre équipe de l’enregistrement des demandes de prestations. La lésion reliée au travail entre d’abord dans le système au niveau de l’enregistrement des demandes, puis dans le programme d’admissibilité.. C’est à ce moment-là que l’on examine l’admissibilité initiale. Il existe deux types de cas. Il y a les cas simples et les cas complexes. Les cas simples sont des choses comme, vous savez, une chute, comme quelqu’un qui trébuche et tombe. Il s’agit d’un incident précis, d’un tissu mou, et ces cas sont résolus assez rapidement et ne nécessitent pas beaucoup d’échanges ou de communication avec nous. Ils demandent peu d’actions. Ils seront soumis à la procédure de décision en ligne ou à ce que l’on pourrait appeler le traitement en ligne. Si un cas ne répond pas à ces critères et qu’il n’y a pas de contestation de la part de qui que ce soit, il restera là.
En cas de contestation, si la demande est plus compliquée ou doit être approfondie, elle sera soumise à une personne agente à l’admissibilité, qui sera chargée de l’examiner. Il se peut que la personne agente à l’admissibilité vous appelle. Si la demande est acceptée, cette personne commencera le versement des prestations, c’est-à-dire les prestations de soins de santé ou les prestations pour perte de gains. Il convient de noter qu’en 2023 — à l’automne 2023 — nous avons modifié les modalités de déclaration des paiements. Auparavant, il s’agissait toujours des quatre semaines précédentes. Maintenant, nous utilisons les deux chèques de paie précédents, ce qui nous aide à faire le calcul pour que le paiement soit effectué plus tôt, et nous avons eu beaucoup de bons retours à ce sujet. Donc, si vous n’étiez pas au courant, vous pouvez également faire cela.
D’accord. Au moment où la demande est acceptée, si la personne ne s’est pas remise de sa lésion, le dossier est transmis à une ou un gestionnaire de cas. Il s’agit d’une ou d’un gestionnaire de cas de courte durée. Cette personne gestionnaire de cas de courte durée terme confirmera l’admissibilité. À ce stade, le dossier contient des renseignements médicaux, ce qui signifie qu’un diagnostic ou qu’un siège de lésion a déjà été reconnu, et que nous devons maintenant rendre une décision. Si le diagnostic est passé de lésion des tissus mous de type entorse/douleur musculaire à une fracture, une personne gestionnaire de cas s’occupera de ce genre de choses. La personne gestionnaire de cas facilitera le retour au travail et le rétablissement. Dans tous vos entretiens avec les gestionnaires de cas, vous aurez généralement des questions telles que : « Que peut faire cette personne en dehors de ses tâches habituelles? » Les gestionnaires de cas essaieront de négocier avec vous, d’obtenir des renseignements sur le travail et vous informeront également de ce que nous faisons en termes de rétablissement. Pour ce qui est du retour au travail, les gestionnaires de cas travaillent en étroite collaboration avec les spécialistes du retour au travail, et nous leur fournissons les renseignements initiaux sur l’emploi et les capacités fonctionnelles de la travailleuse ou du travailleur.
Les gestionnaires de cas travaillent également avec la personne infirmière responsable du rétablissement. Cette dernière est là pour prendre les décisions en matière de soins de santé et de soins dentaires. Elle facilite ensuite l’orientation vers nos programmes spécialisés, que vous avez certainement vus. Kelly va aborder la question du retour au travail, mais lorsqu’une personne est orientée vers un programme, une personne spécialiste du retour au travail se rend sur place ou effectue un entretien téléphonique et élabore un programme de retour au travail. La personne gestionnaire de cas paie ensuite conformément à ce programme. Comme je l’ai dit, Kelly, nous y reviendrons plus en détail.
Enfin, il y a la résolution de la demande. C’est le moment où est atteint le rétablissement maximal. Vous entendrez peut-être nos gestionnaires de cas parler de rétablissement médical maximum (MMR en anglais – maximum medical recovery). À ce stade, le dossier est fermé et le rétablissement est terminé. La question du retour au travail, que ce soit avec le même employeur ou non, est résolue. Telle est le cycle de vie d’une demande. Voulez-vous passer à la diapositive suivante? | Dana se trouve dans le coin supérieur droit de l’écran et parle. La diapositive intitulée « Life of a claim » (cycle de vie d’une demande) apparaît. Contenu à l’écran (remarque : le texte à l’écran apparaît en anglais) :
1. Enregistrement de la demande L’enregistrement d’une demande commence par la déclaration d’une lésion, d’une maladie ou d’une exposition.
2. Décision relative à l’admissibilité Il existe deux types de cas :
3. Gestion de cas Après la détermination de l’admissibilité initiale, si la personne ne s’est pas rétablie de sa lésion, les activités de gestion de cas commencent. Ces activités comprennent le paiement, le retour au travail et le suivi du rétablissement.
4. Résolution de la demande La résolution d’une demande intervient lorsque la personne blessée ou malade atteint le stade du rétablissement médical maximum et reprend le travail.
Une petite icône représentant un ordinateur portable avec des cases à cocher se trouve sous « 2. Décision relative à l’admissibilité ». |
Pour en savoir un peu plus sur le rôle d’une personne gestionnaire de cas, je dirai que les gestionnaires de cas travaillent en étroite collaboration avec les personnes blessées ou malades pour les aider à reprendre le travail, en examinant leurs capacités et en veillant à ce que le travail modifié soit approprié. Ces renseignements proviennent des formulaires Détermination des capacités fonctionnelles pour la planification d’un retour au travail rapide et sécuritaire, des notes cliniques versées au dossier et des entretiens avec la personne blessée pour transposer ses activités de la vie quotidienne en capacités fonctionnelles.
Je tiens à souligner que pour les employeurs, ce formulaire est très important, car c’est lui qui permet de communiquer avec la personne gestionnaire de cas, la personne spécialiste du retour au travail, l’employée ou employé et les personnes chargées des questions d’invalidité au sein de l’entreprise afin d’être sur la même longueur d’onde et de comprendre quelles sont les capacités de la personne blessée ou malade. Ainsi, lorsque vous avez cette conversation avec la personne gestionnaire de cas pour la première fois, il se peut qu’elle entre dans les détails avec vous — et elle est censée le faire — sur le travail de la personne et ce qu’il implique. Par exemple, la personne doit-elle faire des mouvements d’extension? Quelle est la position de leur corps? Les personnes gestionnaires de cas vous poseront beaucoup de ces questions parce qu’elles essaieront de transposer ces renseignements sur le formulaire Détermination des capacités fonctionnelles pour voir si elles peuvent commencer cette conversation sur le retour au travail.
Les gestionnaires de cas fixent également des objectifs qui sont liés aux renseignements médicaux que nous avons au dossier. Par exemple, vous savez, nous prévoyons une période de quatre à six semaines de rétablissement, donc c’est le délai dans lequel nous allons essayer de travailler pour que cette personne reprenne toutes ses tâches. Et puis, bien sûr, les gestionnaires de cas planifient des activités en collaboration avec les parties du lieu de travail, les personnes praticiennes de la santé. Une fois que tout le monde est sur la même longueur d’onde, si ces objectifs doivent être modifiés pour quelque raison que ce soit, la personne gestionnaire de cas vous en informera et le dossier sera actualisé. Puis, si nécessaire, les gestionnaires de cas organisent et font le suivi du retour au travail avec la personne spécialiste du retour au travail, ce dont Kelly va maintenant parler. | Dana se trouve dans le coin supérieur droit de l’écran et parle. La diapositive intitulée « Role of a case manager » (rôle d’une personne gestionnaire de cas) apparaît. Contenu à l’écran (remarque : le texte à l’écran apparaît en anglais) :
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Kelly, c’est à vous. | Dana se trouve dans le coin supérieur droit de l’écran et parle. La diapositive intitulée « Role of return-to-work specialists » (rôle des personnes spécialistes du retour au travail) apparaît. Contenu à l’écran (remarque : le texte à l’écran apparaît en anglais) : fournit des renseignements sur le processus de retour au travail ainsi que les droits et obligations
détermine les obstacles potentiels à l’égard du retour au travail et les interventions nécessaires à l’atteinte des résultats fructueux en matière de retour au travail,
aide les parties concernées à élaborer un programme de retour au travail d’avant la lésion, avec ou sans adaptations
fournit des conseils, une planification de la réadaptation professionnelle et un soutien pour coordonner le retour au travail, ce qui peut inclure d’autres adaptations et(ou) une transition vers un autre emploi dans l’entreprise ou dans une nouvelle entreprise
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Oui. Merci. Donc, comme Dana l’a mentionné, même si un dossier est transmis à une personne spécialiste du retour au travail, la personne gestionnaire de cas et la personne spécialiste du retour au travail travaillent ensemble, en collaboration, sur le retour au travail. La personne gestionnaire de cas continue à gérer le dossier. Elle examine les renseignements médicaux, détermine les capacités fonctionnelles, elle a encore beaucoup à faire. Lorsqu’il y a une orientation par la personne gestionnaire de cas, le dossier n’est pas seulement transmis à une personne spécialiste du retour au travail et c’est tout. Il y a un travail de collaboration. Et la personne gestionnaire de cas continue de s’occuper de la gestion du dossier.
Voici certains des choses que font les spécialistes du retour au travail :
Premièrement, ces personnes fournissent des renseignements sur le processus de retour au travail aux parties du lieu de travail, sur les droits et les obligations de la personne travailleuse et de l’employeur, afin que chacun sache à quoi s’attendre, n’est-ce pas? La différence, c’est que les spécialistes du retour au travail se rendent sur place. Ainsi, si la situation peut être négociée par téléphone, la personne gestionnaire de cas peut s’en charger. Mais si elle a besoin de plus d’aide, elle enverra le dossier à une personne spécialiste du retour au travail qui se rendra sur place, rencontrera les parties du lieu de travail et examinera le travail. Il est donc important nous nous rendions sur place, que nous voyions le travail, que nous rencontrions les parties concernées et que nous les aidions à résoudre certains de ces problèmes. Pendant que nous sommes sur le terrain, nous examinons également les emplois afin de faciliter le retour au travail.
La personne spécialiste du retour au travail est là pour faciliter la discussion sur le retour au travail. Elle a les connaissances et la compréhension des meilleures pratiques, et elle aidera les parties du lieu de travail à trouver une solution.
La personne spécialiste du retour au travail aidera toutes les parties à élaborer un programme pour aider les personnes à reprendre le travail qu’elles occupaient avant leur lésion, avec ou sans adaptations. Il s’agit donc d’examiner le travail, de cerner les adaptations susceptibles d’aider une personne qui ne peut pas immédiatement reprendre son travail d’avant la lésion compte tenu de ses limitations. La personne spécialiste du retour au travail apportera son soutien, en cherchant des adaptations pour permettre à la personne blessée de reprendre le travail. Elle aide ensuite à élaborer un programme qui fonctionne pour les parties du lieu de travail. Elle communique ce programme par écrit aux parties et le verse au dossier pour que la personne gestionnaire de cas puisse gérer toute différence de paiement et comprendre où en est le dossier.
Ensuite, notre spécialiste du retour au travail fournit également des conseils en matière de planification de la réadaptation professionnelle et de soutien à la coordination du retour au travail, qui peut inclure davantage d’adaptations, ce que je viens d’évoquer, et éventuellement une transition vers un autre emploi dans l’entreprise ou peut-être une nouvelle entreprise. J’y reviendrai un peu plus en détail, ainsi que sur l’aide que nous pouvons offrir. Prochaine diapositive, Jen. | Kelly apparaît dans le coin supérieur droit de l’écran et parle. La diapositive intitulée « Role of return-to-work specialists » (rôle des spécialistes du retour au travail) est toujours à l’écran. |
Il y a donc deux phases différentes dans lesquelles la personne spécialiste du retour au travail peut apporter son soutien. Il y a le soutien précoce, n’est-ce pas? Lorsqu’une lésion vient de se produire ou est relativement récente, la personne spécialiste du retour au travail intervient rapidement pour cerner et atténuer les obstacles au retour au travail. Elle agit avec un sentiment d’urgence pour veiller à ce que toutes les parties concernées puissent participer et être informée de leurs responsabilités en matière de retour au travail. Si vous ne savez pas quelles sont vos responsabilités, comment pouvez-vous les connaître? Comment pouvez-vous les assumer? Il est donc important que la personne spécialiste du retour au travail vous informe et que chaque personne comprenne quelles sont ses responsabilités. Comme je l’ai dit, vous ne pouvez pas les assumer si vous ne les connaissez pas. La personne spécialiste du retour au travail est là pour vous soutenir.
Et l’utilisation d’outils et de ressources appropriés pour surmonter rapidement les obstacles. Ainsi, comme je l’ai mentionné, la rencontre sur place, je pense qu’elle est vraiment essentielle pour faciliter un programme de retour au travail. La personne spécialiste du retour au travail examine vraiment le travail, le travail d’avant la lésion, en général, d’abord. Elle examine ce que le travail d’avant la lésion implique et aide vraiment à essayer de déterminer les exigences physiques ou cognitives pertinentes. Par exemple, quelle est l’ampleur du travail de soulèvement de charge, de transport de charge? La personne blessée est-elle capable de s’asseoir et de se tenir debout, par exemple en alternance, ou est-ce que le travail implique une mise en charge constante? Faut-il beaucoup pousser ou tirer des charges? Tout dépend donc du type de lésion. La personne spécialiste du retour au travail examinera le travail dans la perspective de cette lésion, car il faut vraiment comprendre les exigences physiques ou cognitives pertinentes pour déterminer si la personne peut reprendre ce travail. Nous faisons donc correspondre ces limitations fonctionnelles que la personne gestionnaire de cas a fournies par le biais de la documentation médicale, puis nous examinons le travail lui-même et nous nous demandons s’il est compatible. S’il n’y a pas de compatibilité, nous passons alors à la question de savoir comment résoudre le problème. Il s’agit donc de solutions d’adaptation de l’emploi.
Là encore, nous informons les parties du lieu de travail de leurs obligations. J’y reviendrai un peu plus en détail. Nous négocions des programmes de retour au travail rapides, et je pense que la vitesse est importante dans tout cela. Les recherches montrent que plus le retour au travail est précoce, plus les chances de rester au travail sont grandes. Plus l’interruption de travail est longue, plus les recherches montrent qu’il est difficile de faire revenir les gens au travail. Un retour au travail rapide, un travail approprié et un programme qui tient compte des besoins de chaque personne, voilà ce que cette personne spécialiste du retour au travail pourrait faire dans cette phase initiale.
Nous avons également les premières personnes spécialistes du retour au travail qui aident en amont du dossier, elles peuvent également utiliser des évaluations des capacités fonctionnelles et cognitives si elles en ont besoin. Il s’agit d’évaluations externes et d’évaluations ergonomiques si nécessaire. La personne spécialiste du retour au travail détermine donc si cela peut être utile. Elle peut également faire appel à une personne formatrice en milieu de travail pour l’aider dans cette démarche. Il existe donc des outils que les spécialistes du retour au travail peuvent utiliser dans les premières phases. | Kelly se trouve dans le coin supérieur droit de l’écran et parle. La diapositive intitulée « Return-to-work: early support » (retour au travail : soutien précoce) apparaît. Contenu à l’écran (remarque : le texte à l’écran apparaît en anglais) : Le soutien précoce au processus de retour au travail comprend :
Les services précoces offerts sur le lieu de travail sont les suivants :
Une icône représentant quatre personnes dans un carré, les bras tendus les uns vers les autres, figure dans le coin inférieur droit de la diapositive.
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Nous avons également... Si le cas devient plus long et qu’un soutien différent est nécessaire ou que cela prend beaucoup plus de temps, nous pouvons le confier à nos spécialistes du retour au travail dans notre deuxième segment. Ainsi, dans tous les cas où il s’agit d’un soutien à plus long terme pour le retour au travail dans l’entreprise ou pour aider les personnes à trouver un nouvel emploi approprié auprès d’un nouvel employeur, c’est l’aide qui sera apportée. Les spécialistes du retour au travail s’appuient sur la réadaptation professionnelle et collaborent avec les parties pour atteindre ces objectifs de retour au travail. Ainsi, les services que les personnes spécialistes du retour au travail incluent... Elles se rendent toujours sur le lieu de travail, comme pour les services dont je viens de parler. Il y a encore des possibilités chez l’employeur, mais cela prend plus de temps, et on peut alors envisager les choses différemment. Les services sur le lieu de travail sont donc toujours disponibles et ils seront toujours utilisés.
Les spécialistes du retour au travail utilisent des évaluations des capacités fonctionnelles et cognitives et des évaluations ergonomiques et font également de l’accompagnement professionnel. Ainsi, à différentes phases de la demande, l’une de ces évaluations peut s’avérer nécessaire et les spécialistes du retour au travail y ont recours le cas échéant. Les spécialistes du retour au travail procèdent également à une analyse des compétences transférables dans le cadre de l’évaluation professionnelle. Lorsque l’on constate que la travailleuse ou le travailleur n’est pas en mesure de reprendre le travail, que les choses traînent en longueur, on commence à s’intéresser à la formation, aux compétences, aux aptitudes, aux centres d’intérêt, etc. de la personne blessée ou malade. Les spécialistes du retour au travail commencent donc à examiner les antécédents de la personne pour voir si elle a besoin d’un soutien.
Les personnes spécialistes du retour au travail élaborent des programmes de retour au travail avec formation Elles déterminent donc des emplois appropriés et fournissent des renseignements sur le marché du travail Là encore, il s’agit probablement d’une déficience permanente, d’une personne qui ne se rétablit pas, qui n’est peut-être pas en mesure de reprendre son travail d’avant la lésion. Les personnes spécialistes du retour au travail commencent à aider et à déterminer comment aider cette personne à reprendre un certain type de travail, qu’il s’agisse d’un travail adapté auprès de l’employeur ou d’un emploi différent auprès de l’employeur, voire d’une mutation hors de l’entreprise. Il s’agit donc de services de réadaptation professionnelle, mais aussi de services d’aide à l’emploi.
Ainsi, si une personne a quitté l’employeur, elle peut utiliser les services d’aide à l’emploi pour la rédaction d’un CV, la recherche d’emploi, les techniques d’entretien, etc. | Kelly se trouve dans le coin supérieur droit de l’écran et parle. La diapositive intitulée « Return-to-work longer support » (soutien à long terme pour le retour au travail) apparaît. Contenu à l’écran (remarque : le texte à l’écran apparaît en anglais) :
Le soutien à long terme pour le retour au travail comprend :
Services compris :
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Il s’agit donc de deux types d’approches différentes. Donc, les considérations sur le retour au travail. Je pense qu’il est important que vous sachiez certaines choses. La politique sur le retour au travail, Retour au travail : aperçu et concepts clés, c’est la politique 19-02-07. Vous n’avez pas besoin de la connaître, mais si vous allez sur notre site Web et que vous tapez « Aperçu du retour au travail », vous obtiendrez cette politique.
Comme je l’ai mentionné précédemment, il est très important que les employeurs et les syndicats comprennent leurs obligations. Ce document donne une bonne idée des processus de retour au travail et fournit des conseils à ce sujet, ainsi que les concepts clés sous-jacents à ce que nous essayons d’obtenir. Je pense qu’il s’agit d’un bon document pour vous donner une vue d’ensemble de ce que nous faisons et de ce sur quoi nous nous concentrons en matière de retour au travail.
Ainsi, parmi les points abordés dans la politique Retour au travail : aperçu et concepts clés, on peut citer le fait que tout doit être mis en œuvre pour faciliter le retour d’une employée ou d’un employé à l’emploi d’avant la lésion, avec ou sans adaptations. Il est toujours préférable de garder la personne blessée ou malade chez l’employeur, qu’il y ait ou non des adaptations. Beaucoup de travailleuses et travailleurs se rétablissent et tout rentre dans l’ordre. Mais parfois, les travailleuses et travailleurs peuvent avoir besoin d’adaptations continues pour les aider.
Lorsque ce n’est pas possible, nous nous concentrons sur d’autres possibilités de retour au travail chez l’employeur. Ainsi, nous ne quittons pas l’employeur tout de suite si les lésions ne sont pas appropriées. Nous voulons rester avec l’employeur et poursuivre cette relation. Nous aiderons donc l’employeur à rechercher d’autres possibilités d’emploi. Et si cela n’aboutit pas, s’il n’y a rien de sécuritaire et d’approprié, nous nous tournons alors vers le marché du travail élargi.
La WSIB et les parties concernées doivent vraiment s’efforcer de réintégrer l’employée ou employé dans son emploi. Nous devons donc nous assurer que cette personne possède les compétences nécessaires pour effectuer le travail, quel qu’il soit. S’il s’agit d’un autre emploi, nous devons nous assurer que la personne possède les compétences nécessaires pour l’exercer. Par exemple, vous savez, les connaissances informatiques pour faire le travail, et la maîtrise de la langue. Vous entendrez dire que le travail approprié doit être sécuritaire, productif et compatible avec les capacités fonctionnelles et qu’il doit permettre de rétablir, dans la mesure du possible, les gains d’avant la lésion. Tous ces éléments sont donc essentiels à l’établissement d’un travail approprié. J’en parlerai un peu plus tard.
Les capacités fonctionnelles. Dana a mentionné le formulaire Détermination des capacités fonctionnelles. Il s’agit d’un document de l’employeur. Vous pouvez demander à la personne blessée ou malade de le faire remplir. Vous savez, vous pouvez le faire remplir chaque fois que vous en avez besoin, mais cela a un coût. Donc, toutes les deux semaines, toutes les deux ou trois semaines, selon que la personne se rétablit ou non, au début, vous voudrez peut-être le voir toutes les deux semaines. Si ça se prolonge, vous ne voudrez peut-être pas le voir toutes les deux semaines parce que rien ne change, le rétablissement est un peu lent. Il s’agit donc d’un document de l’employeur et vous avez le droit d’y avoir accès. Cela donne une idée des capacités fonctionnelles et des limitations. Alors, quelle est la capacité de soulèvement de charges? La personne peut-elle soulever 10 lb du sol à la taille, mais moins que cela au-dessus de la tête? Peut-elle pousser des charges de 20 lb? Peut-elle rester debout pendant 30 min et assise pendant 10 min? Il s’agit de tout cela. Si la personne a subi une lésion à l’épaule, peut-elle travailler au-dessus de la hauteur des épaules, mais pas en dessous? Il s’agit donc de donner tous ces détails, car si vous ne les avez pas, vous ne pouvez pas trouver un travail convenable. C’est ce document que la personne gestionnaire de cas examinera pour déterminer ce que nous acceptons. Il s’agit donc des capacités fonctionnelles.
Encore une fois, cela est important pour le point suivant, qui est le caractère approprié du travail d’avant la lésion ou du travail modifié. Vous ne pouvez pas déterminer le caractère approprié si vous n’avez pas une bonne compréhension des capacités fonctionnelles que nous acceptons, et la personne gestionnaire de cas peut vous aider et vous donnera un avis écrit de ce que nous acceptons également.
Ainsi, pour que le travail soit approprié, je l’ai déjà mentionné, il doit être sécuritaire, ce qui est logique, n’est-ce pas? Il est sécuritaire pour tout le monde. Il doit être productif. Il faut donc être prêt à payer quelqu’un pour ce type de travail. Il ne peut pas s’agir d’une sorte d’invention. Il doit donc s’agir d’un travail productif. Qui est compatible avec les capacités fonctionnelles de l’employée ou employé. Là encore, il s’agit d’un élément à prendre en compte pour déterminer s’il y a compatibilité. Enfin, nous cherchons à rétablir, dans la mesure du possible, les gains d’avant la lésion. Ainsi, toutes ces choses... Lorsque nous parlons de caractère approprié, c’est à cela que nous faisons référence, et cela est mentionné dans la politique.
Si le travail n’est pas approprié, il existe de nombreux types d’adaptations qui peuvent aider à y remédier. Cela peut être... Et cela varie en fonction des personnes, des lésions, n’est-ce pas? Mais il peut s’agir d’un simple besoin de réduction des tâches, comme le fait de ne pas effectuer toutes les tâches qui étaient les siennes avant la lésion. La personne peut peut-être en faire trois sur quatre. Pouvez-vous prolonger la durée de ces trois tâches pour lui permettre de reprendre le travail? Il peut s’agir de retirer une tâche. Il peut s’agir d’ajouter une tâche, si quelqu’un a, par exemple, une lésion au bas de la jambe et a besoin de s’asseoir un peu plus. Pourrions-nous envisager d’installer un tabouret ou y a-t-il des moyens de lui permettre, peut-être de lui donner quelque chose d’autre qui lui permette de s’asseoir pour une pause et de se relever ensuite? C’est donc très variable. S’il s’agit d’une charge lourde, peut-on la diviser? Pouvons-nous augmenter la hauteur du soulèvement de charge pour plus de facilité? Par exemple pour une lésion au bas du dos, il ne faut pas soulever des charges au niveau du sol. Il peut s’agir d’une simple conversation et de mettre la palette sur d’autres palettes pour les soulever, n’est-ce pas?
Les adaptations sont donc innombrables. Il y a beaucoup de types d’adaptations et de façons d’adapter le travail, et nous vous aiderons à le faire. C’est pourquoi nous voulons vraiment que les spécialistes du retour au travail se rendent sur place et vous aident à cet égard.
Le dernier élément à prendre en considération est le devoir d’adapter. Il existe donc un devoir d’adapter. Au cours du processus de retour au travail, il incombe aux entreprises et, le cas échéant, aux syndicats et aux employées et employés, de se conformer au Code des droits de la personne de l’Ontario et, dans le cas des entreprises sous réglementation fédérale, à la Loi canadienne sur les droits de la personne.
Ainsi, les entreprises ayant des obligations en matière de collaboration et de rengagement... Je ne vais pas entrer dans tous ces détails, mais la personne gestionnaire de cas pourra certainement vous aider et vous faire savoir s’il y a des obligations de collaboration, de rengagement et tout le reste. Vous avez le devoir de modifier le travail dans le but de répondre aux besoins de la personne employée dans la mesure où cela ne vous cause pas de préjudice injustifié. Nous vous aiderons à cet égard. Les personnes gestionnaires de cas spécialisées dans le retour au travail comprennent bien ce que cela signifie. Nous sommes là pour vous aider. Nous pouvons donc vous aider à comprendre ce que cela signifie. Nous disposons d’un service de rengagement, mais nous aidons vraiment les employeurs à s’y retrouver.
Si une personne employée peut accomplir les tâches essentielles de son emploi d’avant la lésion moyennant des adaptations, ou qu’un emploi qui devient disponible peut être rendu approprié au moyen d’adaptations et que celles-ci ne causent pas un préjudice injustifié, l’entreprise doit fournir les adaptations pour permettre à la personne employée de rester au travail. C’est donc important et, comme je l’ai dit, il pourrait s’agir de restrictions temporaires et nous nous attendons toujours à ce qu’elles soient prises en compte dans le cadre du devoir d’adapter.
Durant les périodes où elles doivent remplir des obligations de rengagement et de collaboration, les entreprises peuvent être soumises à des exigences en matière d’adaptations qui vont au-delà des exigences relatives à la lésion ou maladie reliée au travail. La législation concernant les droits de la personne protège les personnes employées contre la discrimination fondée sur de nombreux motifs, notamment sur un handicap, le sexe, la croyance, l’ethnicité, la situation familiale et l’âge. Les droits de la personne vont donc bien au-delà de l’emploi, et la lésion reliée au travail également. | Kelly se trouve dans le coin supérieur droit de l’écran et parle. La diapositive intitulée « Return-to-work considerations » (considérations sur le retour au travail) apparaît. Contenu à l’écran (remarque : le texte à l’écran apparaît en anglais) :
Chaque case contient une icône pour chaque point. La première icône est celle d’un ordinateur portable avec des coches sur l’écran. La deuxième est l’icône d’un presse-papiers avec un symbole médical plus au centre. La troisième est l’icône d’un fauteuil roulant. La quatrième est l’icône de deux personnes se serrant la main. |
Dana. | Kelly se trouve dans le coin supérieur droit de l’écran et parle. La diapositive intitulée « Best practices for a successful claim outcome » (meilleures pratiques pour une issue favorable à la demande) apparaît. Contenu à l’écran (remarque : le texte à l’écran apparaît en anglais) :
La collaboration en matière de rétablissement et de retour au travail est au cœur de ces meilleures pratiques.
Une icône se trouve sous chaque point. La première icône représente un visage souriant, un visage neutre et un visage triste. La deuxième icône représente une étoile reliée à trois personnes. La troisième icône représente un pouce levé. La quatrième icône représente une main tenant un cœur. |
Merci, Kel. Nous allons donc passer en revue les meilleures pratiques pour une issue favorable à la demande. Il s’agit en fait de la relation que vous entretenez avec votre employée ou employé. Les mesures prises par l’entreprise et la personne employée lors d’un accident du travail contribueront à l’issue de la demande. La culture du lieu de travail est un facteur important qui motive une personne à retourner au travail. Si vous avez une bonne culture d’entreprise qui soutient une personne blessée, vous constaterez que cette personne est motivée à retourner au travail. De bonnes relations entre la personne employée et l’employeur conduisent également souvent à une personne employée engagée qui est motivée à retourner au travail.
Enfin, un soutien fort de l’employeur contribuera à maintenir le programme de retour au travail ou, dans les cas de stress, à renforcer la relation avec la personne employée, par exemple, en disposant d’aide immédiatement après une exposition, et non pas seulement après un accident.
Au centre de tout cela se trouve la collaboration en matière de rétablissement et de retour au travail. La communication et la collaboration doivent être constantes dès le début d’une demande et bien au-delà. Qu’il s’agisse de prendre des nouvelles d’une personne en congé pour lui dire bonjour ou de l’inviter à rendre visite à ses collègues, tout cela peut avoir un impact positif sur le processus de retour au travail. Favoriser un milieu positif dans lequel la personne se sent soutenue et en sécurité pour reprendre le travail se traduira par une issue positive de la demande.
Merci d’être restés avec nous tout au long de la présentation. Jen, quelque chose dans les questions et réponses? | Dana apparaît dans le coin supérieur droit de l’écran et parle. La diapositive intitulée « Best practices for a successful claim outcome » (meilleures pratiques pour une issue favorable à la demande) est toujours à l’écran. |
Oui, il y a une question à laquelle j’ai pensé que nous pourrions répondre en direct, alors nous allons commencer par cela. « Pouvons-nous offrir des tâches générales légères si nous avons du mal à obtenir de la personne travailleuse ou encore de la personne médecin les capacités fonctionnelles? » | Jennifer apparaît dans le coin supérieur droit de l’écran et parle. La diapositive intitulée « Best practices for a successful claim outcome » (meilleures pratiques pour une issue favorable à la demande) est toujours à l’écran. |
C’est une excellente question, car cela fait partie intégrante du travail de la personne gestionnaire de cas. Il est probable que cela se produise immédiatement, de sorte que la personne gestionnaire de cas s’en apercevrait. Vous pouvez certainement offrir des tâches légères, mais c’est à la personne gestionnaire de cas de déterminer si ces tâches légères sont appropriées ou non. Mais, par exemple, si vous savez — ce que nous voyons souvent — si quelqu’un a une entorse à l’épaule droite et que vous lui offrez un travail qui nécessite seulement l’utilisation la main gauche ou de l’épaule gauche ou du reste du corps à l’exception de l’épaule droite, il s’agira souvent d’un travail approprié parce que vous n’impliquerez pas cette lésion. J’espère que cela répond à la question. | Dana appears back in the top right-hand corner of the screen and is speaking. Slide titled “Best practices for a successful claim outcome,” is still on screen. |
Nous avons également quelques questions à vous poser, Dana et Kelly. Nous n’avons rien d’autre dans le clavardage. L’une d’entre elles concerne la disponibilité de la présentation enregistrée. Je suis en train d’essayer d’obtenir cette réponse, et je l’inscrirai ensuite dans le clavardage. Mais pour l’instant, en ce qui concerne la gestion des cas, Dana, j’aimerais commencer par vous poser quelques questions.
Lorsqu’un dossier est transféré à la gestion des cas, quelles sont les premières mesures prises par la personne gestionnaire de cas? Et que peut attendre l’employeur de la WSIB dans ces premiers jours? | Jennifer réapparaît dans le coin supérieur droit de l’écran et parle. La diapositive intitulée « Best practices for a successful claim outcome » (meilleures pratiques pour une issue favorable à la demande) est toujours à l’écran. |
D’accord, excellente question. Lorsqu’un dossier est transféré, de la manière dont la structure est établie, la personne gestionnaire de cas est censée contacter l’employeur en premier lieu pour examiner l’admissibilité de la demande. La personne gestionnaire de cas aura une bonne idée des tâches d’avant la lésion et, grâce à cette compréhension, elle pourra repérer les obstacles qui pourraient empêcher la travailleuse ou le travailleur de reprendre le travail. Il s’agit alors de rechercher ensemble les possibilités. La personne gestionnaire de cas, lors du premier entretien avec vous, vise à déterminer ce que la travailleuse ou le travailleur faisait auparavant. S’il y a admissibilité à la phase suivante, existe-t-il un autre travail ou d’autres parties du travail d’avant la lésion que la personne blessée ou malade peut accomplir dans le cadre de ses capacités fonctionnelles? Une fois que la personne gestionnaire de cas en a une bonne idée de cela, elle prend contact avec l’employée ou employé pour se faire une idée de la situation de son rétablissement. La personne blessée ou malade suit-elle un traitement? Comment se sent-elle? Comment se débrouille-t-elle à la maison? Tout cela. La personne blessée ou malade discute ensuite du travail qu’elle accomplissait et de ce qu’elle pense pouvoir faire, puis entame la négociation. Ensuite, si l’employée ou employé continue d’interrompre le travail et qu’aucun retour au travail n’est possible, que nous n’avons pas de tâches appropriées, la personne gestionnaire de cas orientera l’employée ou employé vers une personne spécialiste du retour au travail. Cela se produit généralement dans les quatre à six premières semaines d’une demande de prestations, si rien n’a été établi. Ensuite, la personne spécialiste du retour au travail peut revenir et dire : « Vous savez, il n’y a rien que cette personne employée puisse faire pour l’instant, mais c’est le seuil. Il faut qu’elle soit capable de porter des bottes de sécurité, mais dès qu’elle pourra porter des bottes de sécurité, elle pourra faire ce travail modifié. » La personne spécialiste du retour au travail aide donc à cerner ces possibilités. | Dana réapparaît dans le coin supérieur droit de l’écran et parle. La diapositive intitulée « Best practices for a successful claim outcome » (meilleures pratiques pour une issue favorable à la demande) est toujours à l’écran. |
Merci, Dana. Avant de passer aux questions sur le retour au travail que j’allais poser à Kelly, nous avons une autre question dans le clavardage. Si vous avez des questions, nous voulons vraiment pouvoir les afficher et obtenir des réponses pour vous.
La question est donc la suivante : « Lorsqu’une personne employée dont le dossier a été amélioré par la WSIB accepte de travailler pour un autre employeur et démissionne de l’employeur actuel, quels sont les impacts ultérieurs si cette personne démissionne finalement de son nouvel emploi? Si j’ai bien compris, l’employeur initial reste propriétaire du dossier de la WSIB et les coûts sont facturés en conséquence. » | Jennifer réapparaît dans le coin supérieur droit de l’écran et parle. La diapositive intitulée « Best practices for a successful claim outcome » (meilleures pratiques pour une issue favorable à la demande) est toujours à l’écran. |
Et c’est exact. Oui. L’employeur au moment de l’accident est, je suppose que l’on pourrait dire, propriétaire du dossier, comme s’il figurait sur son profil, et ces coûts figurent toujours sur votre relevé de compte. Mais il y a un délai de prescription. Au bout de cinq ou six ans, ce délai se dissipe parce qu’il s’agit alors d’un cas à long terme et qu’il est bloqué. Il y a un tas de choses qui contribuent à cela. Mais en bref, la réponse est oui, l’employeur au moment de l’accident est responsable. | Dana réapparaît dans le coin supérieur droit de l’écran et parle. La diapositive intitulée « Best practices for a successful claim outcome » (meilleures pratiques pour une issue favorable à la demande) est toujours à l’écran. |
Merci, Dana. Une autre question est la suivante : « Pourquoi la WSIB renonce-t-elle à proposer aux personnes blessées des cours dans les collèges communautaires? » | Jennifer réapparaît dans le coin supérieur droit de l’écran et parle. La diapositive intitulée « Best practices for a successful claim outcome » (meilleures pratiques pour une issue favorable à la demande) est toujours à l’écran. |
Kelly? | Dana réapparaît dans le coin supérieur droit de l’écran et parle. La diapositive intitulée « Best practices for a successful claim outcome » (meilleures pratiques pour une issue favorable à la demande) est toujours à l’écran. |
Oui. Eh bien, je suis désolé, mais je n’ai pas une très bonne expérience de l’arrière-plan. Je ne veux vraiment pas répondre à cette question. Pardon, je vais devoir reporter cette question et peut-être vous donner une réponse ailleurs. Je ne savais pas qu’ils faisaient cela. Ce n’est pas mon domaine d’expertise. Je vous prie de m’excuser. | Kelly apparaît dans le coin supérieur droit de l’écran et parle. La diapositive intitulée « Best practices for a successful claim outcome » (meilleures pratiques pour une issue favorable à la demande) est toujours à l’écran. |
Ce n’est pas grave. Dana, avez-vous quelque chose à ajouter? | Jennifer réapparaît dans le coin supérieur droit de l’écran et parle. La diapositive intitulée « Best practices for a successful claim outcome » (meilleures pratiques pour une issue favorable à la demande) est toujours à l’écran. |
Oui, nous voyons ce genre de situation se produire dans les dossiers à long terme, lorsque nous avons éliminé l’employeur au moment de l’accident et que nous commençons le recyclage. D’après ce que j’ai compris, ou du moins d’après ce que nous examinons actuellement, nous essayons de nous concentrer sur la disponibilité sur le marché du travail et la formation que nous dispensons est très ciblée. Je ne dirais donc pas que nous n’offrons pas de cours à l’université ou au collège communautaire, mais il faut que ce soit bien ciblé. | Dana réapparaît dans le coin supérieur droit de l’écran et parle. La diapositive intitulée « Best practices for a successful claim outcome » (meilleures pratiques pour une issue favorable à la demande) est toujours à l’écran. |
Et pourquoi ne pas examiner la hiérarchie des objectifs? Pourquoi ne pas partager cela? Je ne sais pas, Kelly, vouliez-vous que l’on se penche sur la question du retour au travail d’avant la lésion? C’est un peu notre objectif. | Jennifer réapparaît dans le coin supérieur droit de l’écran et parle. La diapositive intitulée « Best practices for a successful claim outcome » (meilleures pratiques pour une issue favorable à la demande) est toujours à l’écran. |
Vous voulez dire le travail d’avant la lésion, la hiérarchie pour le retour au travail vise toujours le travail d’avant la lésion — tout ce que nous pouvons faire pour y parvenir. Ensuite, le travail d’avant la lésion avec adaptations. Puis un travail approprié auprès de l’employeur et enfin, ce que nous ferions après cela, c’est de passer à un autre employeur si nécessaire. Mais nous n’abandonnons jamais l’employeur. Nous sommes toujours à la recherche de possibilités, en particulier si un employeur a des postes qu’il cherche à pourvoir, nous pouvons examiner si la travailleuse ou le travailleur peut suivre une formation qui lui permettra de retourner chez l’employeur une fois ce type de formation terminé. Je pense donc que l’élément clé, lorsque nous cherchons en dehors de l’employeur, est la disponibilité sur le marché du travail, en particulier dans la province de l’Ontario. La disponibilité varie en fonction de la région de la province où l’on se trouve. Il faut donc s’assurer que le travail, à la fin de la formation, est disponible. | Kelly apparaît dans le coin supérieur droit de l’écran et parle. La diapositive intitulée « Best practices for a successful claim outcome » (meilleures pratiques pour une issue favorable à la demande) est toujours à l’écran. |
Merci. Il n’y a pas d’autres questions. Passons maintenant au retour au travail. Je sais que Dana nous a appris un peu de choses sur ces premiers jours en ce qui concerne la gestion des dossiers. Lorsque nous engageons les spécialistes du retour au travail dans ces demandes, Kelly, pouvez-vous nous parler un peu de ce qu’une personne blessée et les employeurs peuvent vivre lorsqu’ils sont orientés pour le retour au travail? | Jennifer réapparaît dans le coin supérieur droit de l’écran et parle. La diapositive intitulée « Best practices for a successful claim outcome » (meilleures pratiques pour une issue favorable à la demande) est toujours à l’écran. |
Oui, bien sûr. La personne gestionnaire de cas s’arrangera donc avec les deux parties du lieu de travail pour leur faire savoir qu’il y aura une orientation et qu’une autre personne les contactera parce que parfois, cela peut être déroutant si vous traitez avec quelqu’un et qu’une autre partie à la WSIB commence à vous appeler. La personne gestionnaire de cas organise donc cela et vous fait savoir ce qu’elle accepte, en termes de capacités médicales et fonctionnelles reconnues pour la personne blessée ou malade à ce moment-là.
La personne spécialiste du retour au travail, que j’ai mentionné plus tôt... Nous croyons vraiment qu’il est essentiel d’intervenir tôt et de permettre à une personne de se rétablir sur son lieu de travail, et les meilleures pratiques vont dans ce sens. La personne spécialiste du retour au travail est donc tenue, si elle reçoit une orientation, de vous appeler dans la journée et d’essayer d’organiser un rendez-vous dans les neuf jours ouvrables. Nous sommes donc vraiment là pour une raison, vous savez, pour sortir le plus vite possible. Plus nous attendons, plus c’est difficile. La personne spécialiste du retour au travail essaie donc d’organiser une rencontre dans les neuf jours ouvrables. C’est en quelque sorte notre norme. La personne spécialiste du retour au travail se rend sur place et, une fois de plus, s’attaque à tous les obstacles au retour au travail. Encore une fois, le fait de se rendre sur place et d’examiner le travail aide vraiment à trouver un travail et à déterminer si ce travail est compatible avec les limitations ou non. La personne spécialiste du retour au travail aide également à atténuer les obstacles, à trouver des adaptations, puis elle établit un programme de retour au travail et le décompose, par exemple, en une sorte de programme hebdomadaire, ce qu’il faut faire, le seuil à établir.
Il se peut donc que la travailleuse ou le travailleur ne soit pas en mesure de reprendre le travail à ce moment-là. Peut-être que les lésions sont trop récentes et que nous n’avons pas pu trouver un moyen ou des adaptations pour que la personne blessée puisse reprendre son travail d’avant la lésion à ce moment-là, mais la personne spécialiste du retour au travail fixera un seuil. Si le travail exige de soulever des charges, mais que la personne travailleuse peut soulever 5 lb maintenant, elle ne pourra reprendre son travail que lorsqu’elle pourra soulever 20 lb.
La personne spécialiste du retour au travail fixera ce seuil s’il n’est pas possible pour la personne blessée de reprendre le travail immédiatement. Et vraiment, en étant sur place, en travaillant ensemble, nous ne dirigeons pas les choses. Nous ne faisons que vous soutenir et vous apporter de l’aide, et c’est à la partie du lieu de travail de présenter à la rencontre tous les problèmes — obstacles, barrières — auxquels elle doit s’attaquer. Et je dois dire qu’à chaque fois nous nous réunissons, nous apprenons tellement de choses, et je pense que les gens oublient presque, lorsqu’ils sont loin de leur travail, à quel point le travail leur manque. L’aspect social, le simple fait d’être là, de se lever le matin, de se rendre sur place. Il est très important de rassembler tout le monde. Et la personne spécialiste du retour au travail apportera son aide. Elle organise la rencontre, examine le travail avec tout le monde, résout les problèmes, puis établit le programme, le documente et le communique à tout le monde. | Kelly réapparaît dans le coin supérieur droit de l’écran et parle. La diapositive intitulée « Best practices for a successful claim outcome » (meilleures pratiques pour une issue favorable à la demande) est toujours à l’écran. |
D’accord. Merci, Kelly. Nous voyons donc que les spécialistes du retour au travail ont un rôle complexe à jouer, qui offre beaucoup de soutien aux deux parties du lieu de travail. Nous savons qu’il s’agit d’une situation idéale et que chaque cas a son propre cheminement. Et comme nous traitons les demandes au cas par cas, cela nous permet de nous concentrer sur les besoins de la personne blessée et, bien sûr, sur ceux de l’entreprise pour laquelle elle travaille. Puis-je vous demander, Dana, de nous en dire un peu plus sur la manière dont nous soutenons le rétablissement d’une personne blessée sur le lieu de travail, et sur ce que l’employeur peut s’attendre à recevoir pour favoriser un retour rapide et sécuritaire au travail? | Jennifer réapparaît dans le coin supérieur droit de l’écran et parle. La diapositive intitulée « Best practices for a successful claim outcome » (meilleures pratiques pour une issue favorable à la demande) est toujours à l’écran. |
Bien sûr. Donc, quand nous regardons le... Donc, vous avez probablement déjà entendu cela, « mieux au travail ». C’est le principe sur lequel nous nous basons. Nous savons, et les recherches le montrent, qu’une personne peut guérir plus rapidement et réduire ses risques de déficience permanente — qu’elle soit psychologique ou physique — si elle peut se rétablir en toute sécurité sur son lieu de travail, et le plus tôt sera le mieux. Et c’est vraiment le cas... Les délais... Il y a une corrélation. Nous essayons donc de nous concentrer sur les trois premiers mois et c’est à ce moment-là que la personne gestionnaire de cas de courte durée participe au processus et qu’elle vous appelle toutes les deux semaines. C’est là qu’une grande partie du travail est accomplie, parce que les recherches montrent vraiment que si nous pouvons faire en sorte que certaines personnes retournent au travail ou pensent à travailler d’une manière ou d’une autre au cours des trois premiers mois, nous aurons plus de succès. Comme je l’ai déjà mentionné, la personne gestionnaire de cas rassemblera tous les renseignements et se fera une idée de la façon dont l’employée ou employé s’en sort. Mais je pense qu’une chose que vous pouvez faire en tant qu’employeur et qui peut vraiment avoir un impact sur le dossier, c’est de fournir à cette travailleuse ou à ce travailleur un formulaire Détermination des capacités fonctionnelles et de parler à la personne gestionnaire de cas des possibilités offertes, de lui faire des suggestions de travail adapté, et la personne gestionnaire de cas travaillera avec vous là-dessus. La personne gestionnaire de cas peut même vous envoyer une lettre contenant des suggestions. Mais la raison pour laquelle je veux vraiment insister sur ce point est que la personne gestionnaire de cas parlera également à la personne médecin et lui dira — ou la personne employée peut apporter cette lettre ou ces suggestions à sa personne médecin — et la personne médecin peut alors dire, « Oui, vous savez, ce travail est quelque chose que je pense être sans danger », et nous pouvons vraiment approfondir ces éléments. C’est donc un processus plus récent pour la personne gestionnaire de cas que d’approfondir la question et de fournir à l’employeur cette lettre d’adaptations possibles. Mais nous obtenons d’excellents résultats. Et je vous encourage vraiment à avoir cette conversation avec la personne gestionnaire de cas, qui vous interrogera de toute façon. | Dana réapparaît dans le coin supérieur droit de l’écran et parle. La diapositive intitulée « Best practices for a successful claim outcome » (meilleures pratiques pour une issue favorable à la demande) est toujours à l’écran. |
Merci beaucoup, Dana. Je ne vois pas d’autres questions dans le clavardage. Si vous en avez d’autres, n’hésitez pas à les envoyer. En attendant, j’ai encore une question pour vous, Kelly. Lorsqu’un cas commence à devenir plus complexe, que peuvent attendre un employeur et une personne blessée de la participation d’une personne spécialiste du retour au travail? Quelles sont certaines des approches qu’une personne spécialiste du retour au travail peut adopter pour soutenir le rétablissement sur le lieu de travail, par exemple? | Jennifer réapparaît dans le coin supérieur droit de l’écran et parle. La diapositive intitulée « Best practices for a successful claim outcome » (meilleures pratiques pour une issue favorable à la demande) est toujours à l’écran. |
Les principes du retour au travail sont donc les mêmes, mais la personne spécialiste du retour au travail dispose de quelques outils supplémentaires et son approche change légèrement. Même si nous travaillons plus tôt avec la personne gestionnaire de cas et la personne infirmière, cela devient une sorte d’habitude. Ces personnes se voient, elles se parlent un peu plus parce qu’il s’agit d’une collaboration : « Que se passe-t-il en termes de traitement, qu’est-ce qui pourrait ralentir le rétablissement? Du point de vue du retour au travail, quels sont les obstacles? », et la personne gestionnaire de cas a également son mot à dire. Alors ces personnes travaillent ensemble pour comprendre les capacités fonctionnelles, le traitement et les préoccupations à l’égard du retour au travail. Elles font donc beaucoup de conférences de cas ensemble. Si elles en ont besoin, elles peuvent également impliquer leurs chefs de service.
La personne spécialiste du retour au travail collabore également plus étroitement avec les prestataires de soins traitants afin de bien comprendre la progression et les prochaines étapes du traitement. Elle a ainsi une meilleure idée de la situation et peut la communiquer aux parties du lieu de travail afin que tout le monde soit sur la même longueur d’onde. La personne spécialiste du retour au travail peut examiner le programme de retour au travail avec les personnes professionnelles de la santé traitantes. Il est utile de comprendre cela pour que les gens aient une idée claire de l’objectif sur le lieu de travail, du travail que vous essayez de leur faire faire et des adaptations disponibles pour un retour au travail réussi. La personne spécialiste du retour au travail continue d’utiliser les rencontres de retour au travail en personne pour résoudre certains des problèmes des parties du lieu de travail. Et en s’assurant que... Je pense que le plus important est que la communication est essentielle tout au long du processus et que l’on travaille ensemble, et que l’on s’occupe toujours des adaptations parce que les choses changent au fur et à mesure du rétablissement, et nous examinons donc toujours ces adaptations. Les spécialistes du retour au travail encouragent également une communication fréquente afin de régler les problèmes le plus rapidement possible. Si quelqu’un a repris le travail et que cela ne se passe pas bien, il faut communiquer avec la personne spécialiste du retour au travail et la personne gestionnaire de cas pour qu’elles puissent s’occuper de la situation. La personne spécialiste du retour au travail peut également faire appel à des personnes formatrices en milieu d’emploi sur les plans physique et cognitif pour apporter un soutien supplémentaire. Et, encore une fois, elle peut à tout moment recourir à une évaluation ergonomique externe, à des évaluations des capacités fonctionnelles. Nous faisons appel à une tierce partie si nous ne parvenons pas à prendre une décision et qu’il y a un litige sur le caractère approprié. La personne spécialiste du retour au travail peut demander à une tierce partie de venir et de procéder à une évaluation des capacités fonctionnelles en milieu de travail. Nous disposons d’un grand nombre d’outils pour aider une personne à déterminer l’étape suivante si le travail d’avant la lésion n’est pas approprié, et comment lui permettre de reprendre ce travail d’avant la lésion. Comme je l’ai dit, nous examinons les compétences polyvalentes pouvant être exploitées lors des services d’aide à l’emploi, et nous travaillons vraiment avec les parties à ce stade.
Mais en tout temps, tout au long de la demande, même si quelqu’un est en formation, l’accent sera toujours mis sur l’employée ou employé pour voir si nous pouvons ramener cette personne à la situation qui était la sienne avant sa lésion. C’est ce que nous essayons de faire. | Kelly réapparaît dans le coin supérieur droit de l’écran et parle. La diapositive intitulée « Best practices for a successful claim outcome » (meilleures pratiques pour une issue favorable à la demande) est toujours à l’écran. |
C’est parfait. Merci beaucoup, Kelly. Très bien, nous avons encore une question. Lorsque la personne blessée a un grave problème de santé mentale, pourquoi la personne gestionnaire de cas ou la personne spécialiste du retour au travail la pousse-t-elle à retourner au travail, ce qui perturbe encore plus la personne blessée? | Jennifer réapparaît dans le coin supérieur droit de l’écran et parle. La diapositive intitulée « Best practices for a successful claim outcome » (meilleures pratiques pour une issue favorable à la demande) est toujours à l’écran. |
Je reviens sur ce que j’ai dit. Nous devons donc nous rappeler que nous examinons l’admissibilité, n’est-ce pas? Il doit donc y avoir admissibilité à des prestations pour un trouble psychologique dans le cadre du dossier. S’il y a admissibilité, nous cherchons à parler avec la personne psychologue traitante pour déterminer quel travail la personne blessée peut faire et quels seraient ses déclencheurs dans de nombreux cas, et nous essayons de contourner ces obstacles précis. Si le trouble psychologique n’est pas relié à la demande de prestations, mais qu’il était préexistant, c’est un peu plus délicat, n’est-ce pas? En effet, la personne gestionnaire de cas doit déterminer : « Est-ce que ce trouble est trop important et nous empêche de mener à bien nos projets de retour au travail et de rétablissement en raison de l’état psychologique préexistant qui a été déclenché, ou est-ce que nous allons travailler avec ce trouble, mettre la personne sous traitement et, une fois de plus, surmonter ces obstacles avec la personne psychologue? » | Dana réapparaît dans le coin supérieur droit de l’écran et parle. La diapositive intitulée « Best practices for a successful claim outcome » (meilleures pratiques pour une issue favorable à la demande) est toujours à l’écran. |
C’est parfait. Merci beaucoup, Dana. Merci à tout le monde d’être venu aujourd’hui. Si vous avez des questions de dernière minute, n’hésitez pas à les poser dans le clavardage. Merci de votre participation aujourd’hui. Et, nous allons... Juste un rappel, nous allons envoyer la présentation en format PDF, juste pour que vous ayez ces diapositives. Nous vous enverrons également un lien vers une enquête, et nous vous demandons de bien vouloir prendre quelques instants pour y répondre. Ça nous aide vraiment de recevoir vos commentaires. Cela nous permet de guider les futurs webinaires. Vous savez, ce qui a été utile, ce que vous aimeriez peut-être voir inclus la prochaine fois? Nous vous remercions de prendre le temps de remplir ce questionnaire, qui vous sera également envoyé par courriel. Je ne vois pas d’autres questions. Nous vous remercions encore une fois du temps que vous nous avez consacré! Nous vous souhaitons une excellente journée. Merci. | Jennifer réapparaît dans le coin supérieur droit de l’écran et parle. La diapositive intitulée « Best practices for a successful claim outcome » (meilleures pratiques pour une issue favorable à la demande) est toujours à l’écran. |
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